1. « extrait du communiqué de presse de l’exposition Juin 2023 »

« Je considère mon travail comme un cérémonial chamanique, des images issues de transes

des images qui se révèlent comme des peintures rupestre (des sortes de conjurations), »

Il ne s’agit pas d’actualité, il ne s’agit pas de parti pris formel ou esthétique il

s’agit de traduire des mouvements profonds qui nous entrainent dans des

pensées et des ressentis déterminants pour notre façon d’être dans le monde.

2. « Présentation à destination du public affichée dans les lieux de l’exposition « 

Trois univers peuvent aider à situer le travail de RABAH ZERKOUT :

1. Les croyances primitives, l’animisme, et autres considérations sur le visible et l’invisible la dimension métapsychique de la nature…
2. Le romantisme comme un savoir intuitif qui s’articule autour de la tragique condition humaine.
3. Le mouvement artistique « Arte povera» et plus particulièrement le travail de Jannis KOUNELLIS et certains aspects des œuvres de Mario MERZ, mouvement qui pour l’artiste est une façon de renouer avec les forces primitives minimales, une forme de poésie de l’élémentaire, un dispositif contemporain d’invocation.

Les origines culturelles et sociales de l’artiste ont évidemment en partie conditionné ces perceptions et d’une certaine façon « positive » modelées sa conviction que l’art est une dimension distincte et équivalente à l’espace et au temps.

D’une autre façon l’artiste est plutôt pessimiste et persuadé que les forces en action son sauvage et que rien ne pourra nous absoudre.